Virginie Dubrez
Je suis ostéopathe depuis 2006 et j'exerce en cabinet libéral à Dijon, dans le quartier des allées du Parc.
Je me situe au 3 avenue des grandes bergeries, dans une copropriété verdoyante, apaisante et calme.
Vous pouvez accéder au cabinet à pied, en vélo, par les bus Corol (arrêt Chevreul Piscine) ou le L6 (arrêts Le Nôtre ou Piscine Carrousel) et en voiture.
Un parking (payant) se trouve à l'entrée de la copropriété.
Le cabinet, au rez-de-chaussée de l'immeuble n° 3, est accessible aux personnes à mobilité réduite et aux poussettes.
Pourquoi je suis devenue ostéopathe ?
Ce qui m’a attirée était la prise en soins globale de l’individu.
Dans un premier temps, j’ai pensé qu’il était important de comprendre la physiologie, connaître l’anatomie, comprendre qu’une articulation pouvait influer sur l’articulation voisine, que les organes, les muscles ou les fascias sont en inter-relations permanentes, et qu’il n’était pas possible d’isoler une partie du corps des autres lors d’un traitement ostéopathique.
Mais je me suis rendu compte à quel point l’ostéopathie nécessite d’aller chercher au-delà de la structure de l’individu.
Je m’efforce, dans mes consultations d’aller chercher par mes questions, lors de l’anamnèse , les informations qui me permettront de comprendre ce qui provoque la douleur dans laquelle se trouve mon patient, je vais donc aller chercher sur différents domaines et différents plans.
Je vais donc questionner autant sur le motif de consultation du jour que sur les antécédents médicaux de mon patient.
Une des difficultés majeure du métier est de retrouver l’origine ou le déclencheur de la douleur qui conduit a consulter.
Cela demande à ce que le patient ait la mémoire des événements et qu’il ait pu se rendre compte de ce qu’il vivait au moment où la douleur est apparue.
L’environnement, la manière dont on va bouger au quotidien, dont on va travailler, le sport que l’on va pratiquer, les activités de loisirs, les émotions ressenties… vont forger le corps petit à petit et nous amener à un équilibre ( ce qui sera satisfaisant) ou un déséquilibre qui lui, à la longue, pourra devenir une douleur, un dysfonctionnement, voire une pathologie.
Les émotions et la manière dont on va gérer et appréhender la vie vont avoir également un impact sur notre bien être physique. Les traumatismes psychiques ont un impact sur le corps et contribuent aux douleurs chroniques, aux blocages, aux dysfonctionnementset sont un facteur favorisant la survenue de certaines pathologies.
C’est en cela, que ce métier est à la fois très complexe, passionnant. C’est un domaine dont on ne connaîtra qu’une petite partie à la fin de la carrière, car il nécessiterait d’aller explorer plusieurs domaines : la psychologie, la posture, la nutrition, la neurologie, la communication… et bien d’autres domaines.
Le soin ostéopathique va rechercher la ou les pertes de mobilité des structures du corps, que ce soit articulaire, musculaire, tissulaire ou viscèral.
Je vais ensuite utiliser des techniques appropriées à l’âge et l’état de santé du patient afin d’améliorer et retrouver un maximum de mobilité. Le but de cette recherche de mobilité est de permettre au corps de (re)trouver une posture équilibrée et confortable afin de profiter de la vie pleinement.
Mon parcours
Ma formation a commencé à l'École Supérieure d'Ostéopathie de Paris : 6 années d'études théoriques et pratiques à temps plein. J'ai appris à maîtriser tous les fondements de l'ostéopathie à travers différentes approches et techniques de soins. Nous avons aussi énormément pratiqué en consultation réelle dans une clinique ostéopathique.
Après cela, j'ai continué de me former dans plusieurs spécialités :
En micronutrition au sein de l'Institut européen de Diététique et Micronutrition de Dijon (Diplôme universitaire)
Formation en posturologie
Formation en ostéopathie pédiatrique
Diplôme de praticien en Médecine traditionnel chinoise à l'issue de 4 années de formation au sein de l'école Ling de Paris
Formation sur la douleur